Les transports offrent de nombreuses opportunités non négligeables en deux ou trois ans de formation. L’Institut Nemo est l’un des artisans de ces études de courte durée mais aux débouchés assurés.
Synonymes de création d’emploi, les transports représentent le centre névralgique de tous les secteurs d’activité et offrent une large palette de métiers aux débouchés assurés.
Conscient de l’attrait économique dans ce domaine, l’Institut Nemo, jeune école parisienne conviviale et rigoureuse, est le centre de formation qui, depuis sa création en 2003, présente le plus d’élèves à l’examen du BTS transport sur l’ensemble de l’Ile-de-France.
Aujourd’hui, l’institut propose trois formations en alternance : un BTS transport, un bac + 3 de logisticien et une formation au métier d’assistant commercial import-export. Une nouveauté pour la rentrée 2006, le BTS assistant de gestion PME/PMI.
Technicien d’exploitation en transport terrestre, affréteur routier national et international, agent d’exploitation aérien et maritime, transitaire, responsable technico-commercial, toutes ces fonctions sont chapeautées par le cursus du BTS transport.
Des métiers à haute responsabilité, avec la possibilité de poursuivre des études plus poussées comme la licence professionnelle « management des échanges internationaux », la maîtrise des sciences et techniques « carrières internationales », ou encore le diplôme des écoles supérieures du transport et de la logistique.
Pour faire face à la recrudescence de la demande, la formation d’assistant commercial import-export a été lancée avec succès en avril 2005. Le rythme retenu pour ce cursus est de quatre jours par semaine en entreprise et d’un jour à l’institut (tous les mercredis).
Cette formation qualifiante s’adresse notamment à tous les étudiants issus d’un cursus universitaire ou à ceux possédant des équivalences. La prochaine session sera de nouveau disponible courant 2006.
Enfin, dernier-né des trois formations, un bac + 3 de logisticien conduit aux métiers de logisticien, de technicien logistique et de responsable logistique.
Parmi ces formations, les non bacheliers trouvent également leur place. En effet, l’accès à l’institut est ouvert à ces candidats sur dossier et après entretien et tests de culture générale, dès l’âge de 16 ans, pour des contrats de professionnalisation « classiques ».
Au-delà de 26 ans, les candidats sont inscrits pour un contrat de professionnalisation dit « adulte ». Les candidats du BTS transport adoptent un rythme de trois jours en entreprise et deux jours à l’école.
Si le permis de conduire n’est pas obligatoire pour la filière transports, il représente en revanche un sésame pour toutes les formations de l’Institut Nemo.
Bon nombre d’entreprises d’accueil étant localisées dans des zones d’activité mal desservies, leur accès en transport public peut en effet représenter une difficulté.
A terme, il est clair que les transports font partie des formations dont le potentiel permet aux candidats de créer leur propre entreprise, mais aussi aux candidates. On constate aujourd’hui que les filles représentent 50 % des effectifs de certaines classes.
« Il y a un renouveau, une ouverture d’esprit chez les filles, qui se sont particulièrement bien adaptées à des métiers qualifiés “d’hommes”, précise Pierre Bitane, responsable de l’Institut Nemo. Par-delà les clichés et les stéréotypes, elles ont compris que ces métiers pouvaient aussi s’adresser à elles. »
Concernant le choix de l’entreprise en alternance, les résultats de l’Institut Nemo sont des plus probants. Au total, ce sont 80 % des étudiants qui sont placés chez les professionnels du transport par le biais des ateliers de recherche préalables à la rentrée de chaque session. Les 20 % de candidats restant trouvent, seuls, leur structure d’accueil.
Outre son Numéro Vert (gratuit) et son site Internet, l’Institut Nemo organise des journées portes ouvertes tous les ans. Les informations concernant ses formations sont également disponibles dans les missions locales, les ANPE, l’Onisep et le CIDJ.