Pourquoi dites-vous, en parlant du métier de conseiller commercial, qu’il s’agit d’un métier d’avenir ?

Parce qu’il y a tout à faire, tout à construire dans le domaine de l’assurance de personnes. 

Il suffit d’observer les grands rendez vous que préfigurent chacun des trois bouleversements majeurs de notre époque : économique (mondialisation) avec l’EURO, technologique avec l’informatique et le numérique, sociologique avec les transformations de nos systèmes de prise en charge collective. Il y a de la place pour celui qui souhaite faire carrière au Groupe Prévoir.

Le système de prise en charge des retraites, de l’invalidité, de la vieillesse, mais également des frais de santé et de tous les risques financiers qu’entraînent les incidents ou accidents de notre vie est à reconstruire, à réorganiser dans une dynamique où les partenaires comme le Groupe Prévoir ont un rôle de plus en plus important à jouer.

Le conseiller commercial voit s’ouvrir devant lui et pour au moins deux décennies, un marché gigantesque si l’on considère que le taux d’équipement des familles ressemble aujourd’hui à celui des téléviseurs au début des années 70 ! Avec de telles perspectives, on peut vraiment parler d’avenir pour notre secteur d’activité.

Un secteur de l’assurance de personnes donc très prometteur. Mais en quoi la révolution technologique dont vous parlez, peut elle dynamiser les recrutements ?

Je ne pense pas qu’il faille attendre de ces nouvelles technologies numériques et informatiques, une augmentation des recrutements en conseillers commerciaux.

Il faut plutôt s’attendre à des évolutions transversales, à une modification et une diversification des rôles dans les réseaux de distribution de l’assurance.

Pour simplifier, je crois que l’on va assister au Groupe Prévoir, à une augmentation de la demande des profils Bac+2. Leur avenir chez nous est prometteur.

Ce sont des gens qui ont acquis suffisamment de connaissances pour pouvoir franchir avec aisance la plupart des changements techniques qui nous attendent.

Et l’Euro ?

Il est décliné à toutes les sauces en ce moment, mais il est important de souligner que nos commerciaux devront nécessairement jouer un rôle de conseil auprès de notre clientèle et l’on sait que  les entreprises qui gagneront demain sont celles qui auront relrevé avec succès les défis de la technique pour être plus compétitif et les défis du service à la clientèle.

Pour résumer, il y a de l’avenir parce que vous allez créer des postes, secteur en expansion oblige, et il y ade l’avenir parce que vous avez besoin de nouvelles compétences  et de têtes bien faîtes si on peut dire.

Oui, et les personnes qui ont un niveau de connaissances générales équivalent à un Bac+2 sont bien placées dans cette perspective d’embauches.

Combien de recrutement pour les prochains mois ?

60 avant la fin de l’été et probablement une centaine avant 1999.

Où ça ?

Sur la région parisienne et bien sûr partout en France où nous possédons un bureau, c’est à dire dans 180 villes. Pour un candidat de province, il y a probablement un bureau Prévoir tout près de chez lui à même de le recruter.