· Parce que la main d’œuvre formée doit être disponible en nombre et en qualification adéquats pour répondre aux commandes publiques et privées.
D’ores et déjà, on constate des tensions dans certains secteurs (énergies renouvelables, bâtiment durable). Sans oublier de former massivement les formateurs eux-mêmes
· Parce que innover, concevoir et produire en économie verte nécessite des connaissances et compétences nouvelles :
· Parce que de nouveaux métiers vont émerger; on peut citer les métiers liés aux services écologiques, dans les associations, les collectivités mais aussi dans les entreprises.
· Parce que ces mutations ne vont pas se produire sans effets négatifs : des secteurs (automobile classique, raffinage, chimie, …) ou des installations (usines ou bâtiment fortement utilisateurs d’énergie et producteurs de gaz à effet de serre) risquent de voir leur place se réduire et leurs salariés se trouver face à une nécessité de reconversion.