Le développement du secteur a placé un certain nombre d’enjeux sur le devant de la scène. Les professionnels doivent tenir compte, s’ils souhaitent rester compétitifs, attractifs et dignes de confiance, de paramètres précis : les émissions de CO2, la sécurité des approvisionnements en énergie, la gestion du risque fiscal, la maîtrise de la fraude, les opportunités proposées par les pays émergents en sont les plus importants.
Il s’avère également très important de pouvoir disposer, en temps réel, des informations permettant de traiter les problèmes les plus complexes propres aux entreprises de transport.
Des postes d’experts sont donc proposés aux diplômés les plus qualifiés, afin qu’ils prennent en charge, en amont, les éventuelles difficultés.
Les entreprises les plus performantes disposent toutes d’un réseau qui permet également de partager les approches comptables et fiscales afin d’assurer une homogénéité des positions tout en gardant la plus parfaite confidentialité.
Les emplois du transport et de la logistique sont majoritairement créés dans les industries automobile, alimentaire et chimique. Mais le secteur connaît quelques évolutions depuis plusieurs années : les entreprises sont priées de transporter plus vert.
Elles devront s’adapter aux exigences de l’Union européenne, afin que les émissions de CO2 diminuent de 20% d’ici à 2020. Par conséquent, les modes de transport les moins polluants seront préférés au trafic routier : les emplois verts se situeront, entre autre, dans le transport fluvial. S’il ne représente aujourd’hui que 5% du secteur, contre 80% pour le transport routier, il est présenté comme une alternative fiable.