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La qualité de vie au travail n’a pas de prix

11/06/2013

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Le lundi 10 juin 2013 à Paris s’est tenu pour la dixième édition la semaine pour la qualité de vie au travail. En toute logique, Recrut.com se devait d’être là ! Voici un petit compte-rendu de cette conférence de presse très intéressante.

Nous avons noté la présence de Pascale Levet (directrice technique de l’Anact), Hervé Lanouzière (directeur général de L’Anact), Charline Avenel, Julien Pelletier (chef du projet « qualité de vie au travail »), Jean-Pierre Brun, Sandra Enlart  et Anne-Sophie Pansari de la société Maviflex en tant qu’intervenants à cette conférence.

Dans un cadre chaleureux, la conférence de presse pour la qualité de vie au travail a débuté à 12h30 et s’est déroulée en deux parties :

La présentation de la problématique et de l’enquête sur la qualité de vie au travail : Hervé Lanouzière a affirmé que « la qualité de vie au travail est au cœur des enjeux stratégiques d’engagement des salariés et de performance des entreprises ». Une enquête a été effectuée en 2012 par la société TNS Sofres afin de déterminer ce que signifie la notion de « qualité de vie au travail » pour les français. Les résultats nous indiquent que cette notion représente un ensemble de plusieurs facteurs qui sont l’intérêt du travail, la reconnaissance des salariés,  l’environnement physique de travail, la qualité des relations sociales …

87% des salariés estiment qu’une bonne qualité de vie au travail profite à la fois aux salariés et à l’entreprise. Nous avons appris également que 68% des salariés estiment que la condition de vie au travail des français s’est dégradée depuis cinq ans. La notion de qualité de vie varie selon l’âge, le sexe et la catégorie socioprofessionnelle des participants à l’enquête.

Le représentant de la CGT a déclaré que « le critère de travail doit être pris en considération dans les plus hautes sphères de décision ».

Le débat : après toutes ces explications, nous avons assisté au débat entre les représentants et la presse, très instructif ! Il en ressort qu’être « bien dans son travail » est le plus important, devant le plaisir et le bonheur. Il faut « revenir sur des basiques, des règles de bienséance  » a conclue madame Pansari.

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