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L'emploi dans l'esthétique et la beauté

06/09/2011

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Se rendre dans un institut de beauté est assimilé à un moment de détente par plus de deux personnes sur trois. Cependant, certains privilégient la rapidité, notamment pour les prestations à faible coût.

Dans tous les cas, choisir son institut, c’est avant tout, choisir une compétence professionnelle, associée à une qualité d’accueil et à la proximité.

Autant dire que la qualité de la formation est capitale pour la réussite de sa carrière dans un domaine où même les prestations les plus modestes sont assimilées à une certaine forme de luxe.

En bref

• Le secteur dénombre près de 60 000 salons de coiffure et plus de 10 000 entreprises à domicile, dont le nombre a considérablement augmenté depuis la création du régime d'auto-entrepreneur en 2009.

La coiffure reste un métier attractif avec près de 40 000 jeunes formés chaque année.

• Le budget, le plus couramment dépensé dans un institut de beauté, est compris entre 20 et 40 €.

• 26 930 établissements et 6,6 % de croissance annuelle en moyenne : le secteur se porte bien.

• Aujourd’hui, les dépenses de l’esthétique représentent en moyenne 0,15 % du budget des ménages, soit l’équivalent des dépenses de médicaments.

• Avec près de 3.000 créations d’emploi par an, le secteur propose plus d’emploi qu’il n’y a d’élèves qui terminent leur formation.

Tendances 2011

• De plus en plus d’établissements visent à se démarquer de la concurrence et pour cela, les bonnes idées ne manquent pas. Dernière en date, la garderie pour les enfants apparaît comme une proposition intéressante pour les femmes qui n’ont que le week-end pour se rendre dans les instituts de beauté.

De la même façon, une fermeture plus tardive permettrait de répondre à une attente exprimée par de nombreuses utilisatrices.

• La consommation de prestations de beauté et de soins du corps est particulièrement forte depuis la fin des années 90, période à laquelle émerge un engouement sans précédent pour le bien-être.

Cet essor est lié à l’apparition de nouvelles formules de soins de type : SPA, Hi-Tech, anti-âge, minceur, fermeté, bronzage.

La population active est la plus consommatrice de soins, en particulier les trentenaires et les quinquagénairess. Mieux informé sur les problèmes de santé publique, le client veille de plus en plus à entretenir sa forme physique. Prochaine évolution prévisible : le renforcement de la clientèle masculine et senior.

• Encouragé par sa réussite, le secteur se tourne aujourd’hui vers la bio-cosmétique : la clientèle est très sensible à la qualité des produits proposés et généralement prête à payer plus cher pour obtenir des soins à la fois naturels et efficaces.

Perspectives de recrutement

Le secteur beauté cosmétique ne se limite pas à la profession d’esthéticienne. De nombreux axes de carrière s’ouvrent aux diplômés ambitieux et rigoureux.

Car travailler dans le secteur du luxe nécessite une discipline à toute épreuve et un professionnalisme sans faille. En contrepartie, les possibilités de réussite professionnelle sont importante car le secteur se diversifie d’année en année.

La parfumerie, en constante innovation, crée sans cesse de nouveaux produits et développe des procédés de marketing pour maintenir sa place à l'échelle internationale.

Commerciaux, spécialistes marketing, ingénieurs sont recherchés par les entreprises, surtout lorsque leur pratique de l’anglais leur permet de travailler avec la clientèle étrangère.

Les soins en Spa sont également de gros pourvoyeurs d’emploi. A l’image des grands hôtels, de plus en plus de structures de taille moyenne espèrent attirer une clientèle aisée et chic en proposant un service Spa au sein de leur établissement.

Recruter en alternance est une solution idéale pour ces professionnels.

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