Les formations en alternance s’adressent à tous les jeunes, jusqu’à 26 ans, de tous niveaux et dans tous les secteurs d’activité. Leurs objectifs : faciliter l’insertion professionnelle des jeunes et favoriser l’accès au premier emploi par le biais d’une formation rémunérée qui débouche sur un diplôme ou une qualification.
Cette formule correspond à la volonté des pouvoirs publics de mettre en place pour les étudiants, des passerelles entre le savoir théorique acquis lors d’une formation et la réalité du travail dans l’entreprise.
Salarié et étudiant à la fois, le jeune partage son temps entre un centre de formation et une société. La formation et frais de scolarité sont pris en charge par l’état et l’employeur, en outre la formule de l’alternance donne droit à une rémunération calculée en pourcentage du SMIC qui varie selon l’âge de l’étudiant.
En tant que salarié, le jeune peut bénéficier de tous les avantages (primes, 13ème mois, 5 semaines de congés payés à condition d’avoir accumulé un an d’ancienneté, allocations ASSEDIC…)ainsi que toutes les contraintes liées à ce statut (règlement intérieur, pointage…).
L’alternance au quotidien
· Dans le cadre de l’alternance, une convention précisant le diplôme et la qualification préparé par l’étudiant est signée entre une entreprise et un organisme de formation susceptibles de l’accueillir.
· Le rythme de l’alternance est très variable, selon le type de formation et selon les organismes, aussi pensez-y lorsque vous choisirez votre centre de formation. En effet, plus le rythme de l’alternance est court plus vous devrez multiplier les aller-retours entre l’entreprise d’accueil et le centre.
Choisir un centre de formation
La performance d’un établissement tient à de nombreux critères, la meilleure façon de se faire une idée de l’efficacité d’un centre de formation reste de se rendre sur place pour visiter les locaux, rencontrer les étudiants, les conseillers et les faire parler des atouts de leurs formations.
De nombreux centres organisent des journées portes ouvertes…N’hésitez pas à y aller, vous pourrez vous rendre compte de la qualité des salles, du matériel mis à la disposition des élèves…
C’est aussi le moyen de se faire une idée précise du métier que vous souhaitez préparer et comprendre quelle formation peut vous y conduire.
Bien sûr, vous pouvez dès à présent obtenir des informations sur les centres en leur demandant de vous adresser leur documentation.
Comment trouver un employeur
Généralement ce sont les centres de formation qui sélectionnent un candidat pour le mettre en contact avec des entreprises.
Lorsque ce dernier ne propose pas d’offres , il faut impérativement veiller à ce qu’un véritable programme d’accompagnement pour des jeunes chercheurs d’emploi, soit mis en place, préparation à l’entretien d’embauche, évaluation du projet professionnel…
Certains centres de formation abusent des méthodes de séduction commerciales, faisant payer des frais à l’étudiant qui parfois n’est pas même sûr de trouver en fin de compte une entreprise et donc de pouvoir mener à terme sa formation.
Il est indispensable que l’employeur s’implique dans la formation théorique suivie par le jeune au sein de l’organisme , de même que ce dernier doit prendre en compte dans le déroulement des cours, l’expérience acquise en entreprise.
De nombreux centre organisent des réunions avec les tuteurs afin de faire le point sur la situation des jeunes.
Le rôle de ces tuteurs est d’accompagner le stagiaire dans l’entreprise, afin de lui faire découvrir la réalité de l’entreprise et de lui transmettre leurs savoirs. Ils accueillent le jeune, contrôlent la réalisation des objectifs fixés en début de stage, tout en essayant de rester à son écoute.
Quatre types de contrats en alternance :
Le contrat d’apprentissage, le contrat de qualification, le contrat d’adaptation et le contrat d’orientation.
Les deux types de contrats les plus répandus sont les contrats d’apprentissage et de qualification : en 1998, 369 000 jeunes de moins de 25 ans se formaient en contrat d’apprentissage et 138 000 en contrat de qualification.
Le contrat d’apprentissage
D’une durée de 1 à 3 ans, ce contrat est ouvert à tous les niveaux de formation et prépare à un diplôme de l’éducation nationale, du CAP au diplôme d’ingénieur. pour ce type de contrat, les CFA (centres de formation d’apprentis) interviennent sur des programmes de formation bien établis et sont soumis au contrôle pédagogique de l’éducation nationale.
L’apprentissage est le seul cadre qui subit une procédure de contrôle, chargée de vérifier la qualité des formations dispensées (profils des formateurs, contenu des programmes…).
Si vous choisissez la formation en apprentissage, vous passerez davantage de temps en formation, car le rythme est généralement celui d’un mi-temps passé dans le centre contre un quart de temps dans le cadre d’une formation sous contrat de qualification.
Toutes les entreprises peuvent vous accueillir en apprentissage, y compris le secteur public, les mairies…Sachez que vous devez obligatoirement signer votre contrat d’apprentissage entre le 15 juin et le 15 novembre, mais la recherche d’une entreprise et d’un centre de formation se fait plusieurs mois à l’avance.
La formation est gratuite, elle est financée par l’état ou la région et par la taxe d’apprentissage
Le contrat de qualification
Dans le cadre du contrat de qualification : 60 % des jeunes préparent un diplôme et 40 % une qualification professionnelle.
D’une durée de 6 à 24 mois, il s’adresse aux jeunes âgés de 16 à 25 ans sans qualification ou ayant une qualification insuffisante pour trouver un emploi.
La formation est gratuite car l’organisme de formation est payé par les OPCA (Organismes Paritaires Collecteur Agrée).
Le contrat de qualification est un cadre plus souple que le contrat d’apprentissage et qu’il offre de ce fait moins de garantie.
Vous pouvez signer un contrat de qualification à tout moment, mais beaucoup de centres (notamment pour les BTS) suivent le calendrier scolaire.
Le contrat d’adaptation
Il a pour objectif de donner au jeune un complément de formation, afin de l’adapter rapidement à son emploi.
Ce type de contrat d’une durée de six mois à un an, s’adresse à des jeunes ayant achevé un cycle complet de première formation technique ou possédant une formation générale ayant besoin d’être complétée.
Le contrat d’orientation
Le contrat d’orientation, le plus rare, doit permettre d’élaborer un projet professionnel de formation.
Il concerne d’une part les 16/21 ans sans diplômes, et d’autre part les moins de 25 ans ayant abandonné leurs études supérieures , sans diplôme professionnel ou sans diplôme de niveau bac + 2.
D’une durée de 6 ou 9 mois, ce type de contrat débouche le plus souvent sur un contrat d’apprentissage.
L’alternance s’ouvre aux personnes handicapées
Les travailleurs handicapés reconnus par la COTOREP (Commission technique d’orientation et de reclassement professionnel), ont des droits spécifiques à l’insertion professionnelle.
Le contrat d’apprentissage est ouvert aux personnes handicapées de 16 à 26 ans, soit un an de plus que dans les contrats classiques. En Ile-de-France, les CFA accueillent les apprentis handicapés du BEP à BAC + 4.
De plus, le contrat de qualification est également accessible aux personnes handicapées.
Les secteurs qui recrutent en alternance
La formation en alternance vous donne accès à une palette variée de métiers, en vous plongeant immédiatement dans le monde du travail.
Actuellement, tous les domaines d’activité évoluent, ils se transforment en fonction de l’évolution technologique et de la concurrence économique.
Cependant sachez que certains secteurs signent plus volontiers que d'autres des contrats d'apprentissage et de qualification en alternance.
Les entreprises du secteur de l'agriculture et de l'agro-alimentaire affichent au grand jour leur intérêt pour la formation en alternance et plus particulièrement, l'apprentissage.
Dans ce secteur le nombre d'apprentis a doublé en deux ans: l'horticulture et les travaux paysagers sont les plus concernés car ils emploient la moitié des effectifs d'apprentis, avec plus de 21 000 jeunes en 1997.
Le brevet professionnel responsable d'exploitation agricole attire en ce moment de nombreux jeunes. Quant aux diplômés du supérieur, la fonction la plus recherchée par les employeurs reste la fonction technico-commerciale, qui totalise plus de 36 % des demandes. Les postes de conseil, d'animation, de laboratoires et d'expérimentation, sont quant à eux en constante évolution.
l. L'artisanat
C’est le secteur qui accompagne l'apprentissage depuis le plus longtemps. Il accueille aujourd'hui plus de 135 000 apprentis.
C’ est l’un des secteurs le plus diversifié, puisqu'il regroupe quelque 300 métiers aux réalités bien différentes, allant de l'ébénisterie au bâtiment en passant par la bijouterie...
Sachez que le niveau des diplômes varie selon les disciplines. Si dans le bâtiment , un CAP ou un BEP peut suffire, un BTS est fortement recommandé dans le textile, et il existe des brevets spécifiques adaptés aux métiers d'art pour la joaillerie.
l. Hôtellerie et restauration
Le tourisme est en France un secteur prospère, qui s’est toujours beaucoup investi dans l’alternance. Ce secteur se divise en trois pôles : les restaurants, les cafés, et l’hébergement.
Cependant, c’est la restauration qui a majoritairement recours à la formation en alternance, tout en restant à ce jour l’un des derniers secteurs où la demande est plus forte que l’offre.
l. La grande distribution
C'est l'un des plus gros employeur de jeunes en contrat de qualification et d'apprentissage. Elle souffre depuis longtemps d'une mauvaise image, même si c'est l'un des secteurs qui offre le plus d'opportunités en progression interne.
Il n'est pas rare de voir des apprentis se faire embaucher comme vendeurs et devenir rapidement chefs de rayon.
Les diplômes préparés sont essentiellement des BTS action commerciale, force de vente ou DUT techniques de commercialisation.
l. Le bâtiment et travaux publics
Ce secteur emploie à lui seul 20 % de l'ensemble des apprentis répartis dans 40 000 entreprises.
Les métiers du bâtiment demandent bien entendu, résistance physique et robustesse, mais ils se sont modernisés et transformés.
Le gros œuvre concerne la construction en dur, il emploie des conducteurs d’engins, des ingénieurs, des charpentiers…
Le second œuvre, c’est-à-dire, les équipements et les aménagements intérieurs fait travailler des plâtriers, des électriciens…
Les fonctions de gestion, d’organisation et de négociation font quant à elles appel à des gestionnaires et des commerciaux.
l. Industrie
Dans cette branche d’activité, il faut distinguer sept grands pôles : la productique, la plasturgie, l’électrotechnique, le dessin et les études, les structures métalliques et la maintenance des systèmes automatisés.
Le secteur de la plasturgie est en pleine croissance, en 1997 il comptait 140 000 salariés et depuis, plus de 2000 emplois ont été créés en contrat de qualification, en contrat d’adaptation et d’apprentissage.
l. Transport-logistique
Les métiers du transport sont encore méconnus, pourtant les opportunités d’emplois de ce secteur sont nombreuses et variées, depuis le métier de routier, ou de commercial, jusqu’au personnel au sol du transport aérien, les spécialistes de la logistique…
La fonction logistique tend à prendre une importance croissante dans les entreprises tous secteurs confondus : il s’agit d’organiser de façon optimale l’approvisionnement, la production, le transport de marchandises…Les entreprise ont besoin dans ce secteur de compétences de tous niveaux.
l.. La banque
En 1997, 1228 jeunes suivaient une formation en alternance dans des banques et 15 % des apprentis ont été intégrés à la fin de leur contrat.
Ici, les opportunités d'emploi sont nombreuses car les banques ont besoin de renouveler leurs effectifs et de recruter des personnes qualifiées.
Dans ce secteur les contrats d'alternance sont principalement orientés sur des diplômes bac+2 tels que: BTS action commerciale, ou force de vente et DUT techniques de commercialisation.
l. La comptabilité Gestion
Avec l’apparition de l’informatique, les métiers du chiffre se sont multipliés et transformés. La gestion prévisionnelle consacrée à l’analyse et la prévision, prend actuellement une place de plus en plus importante, elle permet de fixer des objectifs et a pour but d’aider les décideurs à faire le bon choix et mener une politique cohérente.
Dans ce secteur, le BTS comptabilité/gestion, et le DUT GEA ( gestion des entreprises et des administrations) sont les diplômes les plus préparés par les jeunes.
l. Le secrétariat et l’assistanat
Avec le développement des technologies et l’ouverture à l’international, le métier de secrétaire a beaucoup évolué en terme de responsabilité et de possibilité d’évolution dans l’entreprise.
Dans ce domaine, les diplômes et les qualifications les plus courants sont : CAP de secrétariat, BTS Assistante de direction, et contrat de qualification “ secrétariat ”.
l. L'automobile
Les domaines du commercial et du technique attirent le plus grand nombre de candidats, tous les niveaux d'études étant représentés.
Les formations se répartissent en trois filières correspondant à de véritables métiers: la maintenance/ réparation (technicien de maintenance, spécialiste du pneumatique...), la carrosserie/ peinture (carrossier-réparateur, peintre en carrosserie...), et le commercial (vendeur, conseiller commercial automobile...).
l. La santé le Paramédical
Le paramédical est un secteur qui se répartit en trois branches d’activité : les professionnels du soin qui travaillent directement avec le patient (80% des effectifs du secteur), les spécialistes de la rééducation, et les techniciens de l’appareillage qui fabriquent ou réparent les prothèses des patients en leur indiquant comment les utiliser.
Les opportunités d’emploi sont nombreuses et variées : infirmier, diététicien, audio-prothésiste, podo-orthésiste…
Un point sur les diplômes
Les diplômes et les qualifications que vous pouvez préparer en alternance sont variés et nombreux :
Le CAP (certificat d’aptitude professionnel) oriente le jeune vers un diplôme de type ouvrier ou employé qualifié.
D’une durée de deux ans, il peut se préparer dès la cinquième et se révèle indispensable dans le secteur de l’artisanat.
En ce qui concerne les autres secteurs, le CAP est souvent complété par d’autres diplômes, comme le BEP, les mentions complémentaires (MC)…
Le BEP (Brevet d’Etudes professionnelles). D’une durée de 2 ans, ce diplôme se prépare aussi dans un lycée professionnel et permet de poursuivre des études par la suite.
En effet, 40 % des étudiants choisissent de compléter leur BEP par un bac professionnel, technologique, ou avec une mention complémentaire.
Les MC (mentions complémentaires)
Elles se préparent en un an, après le CAP ou le BEP.
Depuis 1995, des MC ont été créées pour des titulaires de bac pro, technologiques ou généraux.
BAC PROFESSIONNEL
Il se prépare en deux ans dans un lycée professionnel. C’est souvent la suite logique pour les titulaires d’un BEP.
Ce diplôme bénéficie d’un succès inégal auprès des employeurs : le secrétariat, le secteur de l’industrie … sont les plus performants en matière d’insertion professionnelle.
BAC TECHNOLOGIQUE
10 % des étudiants qui ont fait ce choix, continuent leur scolarité dans le cadre d’un DUT, d’un BTS, ou d’une école d’ingénieur.
Le BTS ( Brevet de technicien supérieur)
C’est le diplôme de l’enseignement supérieur le plus préparé et l’un des plus apprécié par les professionnels.
De nombreux secteurs sont représentés (industriel, agro-alimentaire…) mais c’est le tertiaire qui reste majoritaire parmi les formations proposées.
D’une durée de deux ans, le BTS se prépare en lycée et est accessible avec le niveau Bac.
Le DUT
Ce diplôme d’une durée de 2 ans, se prépare en IUT.
Les entreprises recrutent aujourd’hui de plus en plus de techniciens opérationnels, issus des IUT, capables d’assimiler les nouvelles technologies dans leur vie professionnelle.
Ce diplôme a la particularité de s’obtenir en fonction d’un contrôle continu, sans examen final.
Les Grandes écoles et l’université s’ouvrent à l’alternance
Les possibilités de poursuivre des études supérieures dans le cadre de l’alternance sont de plus en plus nombreuses. Les écoles de commerce et les écoles d’ingénieurs sont maintenant accessibles par l’apprentissage.
Les grandes écoles de commerce ont créé des CFA : pour y accéder il vous faut réussir le concours d’entrée à l’école et passer une année de scolarité classique, l’alternance ne se mettant en place que la seconde année.
Pour les diplômes d’ingénieurs, il existe depuis 1990 les NFI (nouvelles formations d’ingénieurs) qui permettent de devenir ingénieur par l’apprentissage.
Il existe aujourd’hui 32 filières de l’informatique à la maintenance industrielle, destinées à former des professionnels de terrain. Les NFI recrutent des bacheliers issus des séries technologiques ainsi que des Bac+2.
L’université, elle aussi, s’est investie dans l’alternance et ce, du premier au troisième cycle. Cependant toutes les filières ne sont pas représentées de façon égale.
Les secteurs techniques et scientifiques sont les plus concernés, car la pédagogie de l’alternance leur est bien adaptée.
On peut ainsi préparer certaines licences, des maîtrises MST (maîtrise en science et technique), les MSG (maîtrise de science de gestion), les MIAGE ( Maîtrise d’informatique appliquée à la gestion), ou encore des DESS (Diplôme d’études supérieures spécialisées).
Les profils recherchés
La formation en alternance est une véritable chance à condition d’être l’aboutissement d’une réflexion mûre et d’un projet professionnel solidement établi.
En effet, les avantages qui accompagnent l’alternance, imposent par ailleurs de nombreuses contreparties : s’engager dans une formation de ce type signifie également entrer dans le monde du travail, avec toutes les exigences que cela comporte.
Bon nombre de personnes qui se trouvent en situation d’échec dans le monde scolaire classique, réussissent malgré tout une très bonne insertion professionnelle par le biais de l’alternance.
Cette formule a souvent gagné le pari de remotiver des étudiants en difficulté, en leur faisant comprendre l’intérêt de poursuivre une formation, dans le but d’apprendre un métier.
La maturité, le sérieux et la rigueur sont des qualités indispensables car le rythme de l’alternance est soutenu. En effet, les apprentis doivent mener de front vie professionnelle, études, devoirs et préparation aux examens.
Les centres de formation sont également très attentifs à la motivation des candidats. Ceux qui présentent une réelle curiosité pour le domaine d’activité qu’ils ont choisi ont toutes les chances d’être intégrés dans un centre de formation.
Il ne s’agit pas de renoncer à ses désirs et de baisser les bras, mais de choisir en toute connaissance de cause.
Le recrutement
Généralement, les candidats répondent à des offres de formation diffusées dans la presse, dans les salons ou au sein d’organismes d’aide à l’insertion des jeunes.
Après avoir retiré un dossier d’inscription auprès des centres, les candidats convoqués aux tests et entretiens d’évaluation. Les tests se font la plupart du temps sous forme de QCM, et comprennent des épreuves de français, de logique, de langue…
Généralement à l’issue des tests, le candidat est reçu en entretien individuel au cours duquel il présente son projet et expose ses motivations.
L’objectif étant de vérifier les capacités d’expression du candidat, sa cohérence et son intérêt pour la formation qu’il souhaite préparer.
Sachez cependant que certains centres de formation optent pour d’autres méthodes afin de sélectionner leurs étudiants (entretien téléphonique…), aussi nous vous conseillons de vous renseigner auprès d’eux.