Jouer devient très sérieux : depuis quelques années, les « serious game » se sont développés pour intéresser aujourd’hui certaines des entreprises françaises les plus cotées.
Ces jeux vidéos sérieux sont conçus pour améliorer et valoriser la formation professionnelle. On évalue, à travers le monde, le nombre d’apprenants par ce biais, entre 600 millions et 1 milliard !
Le Japon, la Grande-Bretagne et le Canada sont les plus grands utilisateurs de ce type d’outils. Si la France est encore en retard, son intérêt s’avère grandissant à l’égard de cette pédagogie interactive moderne.
De nombreuses entreprises françaises choisi ce mode de formation au sein de leurs équipe : BNP Paribas, Vivendi, France Télécom, Axa en sont les meilleurs exemples.
L’intérêt de ces jeux vidéos est de proposer une pédagogie interactive, en mettant le « joueur » dans une situation virtuelle choisie en fonction de ses besoins. Il s’agit de jouer « à faire semblant ». Le professionnel peut ainsi s’entraîner, s’évaluer. La diversité des jeux proposés correspond à la diversité des situations rencontrées dans les entreprises ; les domaines sont variés et s’intègrent efficacement à la politique de formation souhaitée par l’entreprise.
Une marque se détache, en France : Daesign qui compte parmi ses partenaires les plus récents : Peugeot, Renault, la Société Générale. Elle propose des formations aux entretiens individuels, aux évaluations professionnelles, aux animations de réunions, pour optimiser les techniques de négociation... en suivant différents fonctionnements tels que simulations de dialogues, saynètes de communication, évaluation multimédia et beaucoup d’autres possibilités adaptables aux besoins des entreprises. L’importance du jeu n’a jamais été aussi reconnue dans le milieu sérieux des grandes entreprises !