Formation initiale :
Ce secteur accueille des candidats sans qualification comme d’autres hautement qualifiés.
La formation initiale peut revêtir plusieurs aspects : scolarité classique pour l’obtention du bac et de diplômes supérieurs, filière professionnelle pour les élèves qui passent un CAP ou un BEP.
Des formations sont accessibles en alternance, dans le secteur tertiaire comme dans celui de la mécanique
Certains métiers peuvent nécessiter un complément de formation spécialisée ou d’une expérience professionnelle significative dans un secteur en rapport avec le métier souhaité.
Une maîtrise de l’anglais est nécessaire pour un grand nombre de métiers du transport aérien. Le niveau d’anglais demandé varie suivant la fonction exercée (anglais courant parlé pour les métiers tournés vers la clientèle, anglais technique écrit à des notions d’anglais pour d’autres métiers).
Un casier judiciaire vierge est exigé quel que soit le métier exercé sur une zone aéroportuaire et le permis de conduire est souvent obligatoire du fait des horaires décalés et pour l’exercice même de certains métiers.
Un aéroport fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 tout au long de l’année. Ce qui signifie que les horaires de travail du personnel s’effectuent en fonction des impératifs des compagnies et des sociétés d’assistance.
Formation continue :
De nombreux instituts proposent également des formations continues qui s’adressent aux salariés du secteur qui souhaitent préparer un projet d’évolution ou de mobilité ou à des salariés issus d’autres secteurs d’activités.
Des formations d’agent d’escale, de steward, d’hôtesse sont accessibles par le biais de la formation continue. Elles prennent en compte les spécificités des différentes compagnies aériennes et assurent l’obtention de certifications sureté et marchandises dangereuses.