Le domaine de l’esthétique vous passionne et vous souhaitez vous former à un des nombreux métiers du secteur, contactez l’Institut Supérieur d’Esthétique Juventhera.

Créatrice de la marque Juventhera déposée à l’I.N.P.I en 1980, Michèle Chetboune a ouvert différents centres d’esthétique à Paris et en province. Ces centres proposent leurs propres concepts de soins et techniques manuelles.

« En 1992, j’ai rencontré Danièle Cohu qui avait alors 25 ans d’expérience dans l’encadrement pédagogique et le professorat d’esthétique. Fort de son expérience dans la formation, et moi en tant que chef d’entreprise dans le domaine de la Cosmétique-Esthétique, nous avons décidé de rassembler nos compétences et de créer un centre de formation en esthétique, cosmétique et beauté : l’Institut Supérieur d’Esthétique Juventhera » explique Michèle Chetboune, PDG de l’Institut et Présidente de l’Association pour la promotion de l’Esthétique Française.

Développement du secteur de l’esthétique

« Le marché de l’esthétique, depuis ces dix dernières années, ne cesse de se développer. Cependant, si l’augmentation globale du nombre d’instituts depuis 1981 a pratiquement doublé, il n’en reste pas moins que la durée de leur existence est à relativiser.

Les raisons : l’inadéquation aux besoins du marché. Le nouveau consommateur est là et les instituts de beauté n’ont pas évolué avec lui… » remarque Michèle Chetboune.

Selon une étude réalisée par l’Institut du Professeur Cathelat (Institut qui étudie le comportement du consommateur), le soin de soi représentait dans les années 80, 3% du budget des ménages, et dans les années 90, 8 à 9% de leur budget (évolution X 3 environ).

En l’an 2000, il représentera 20% du budget des ménages. Une très forte évolution de ce secteur est prévue en l’an 2000 et générera de nombreux emplois. La formation, la réactualisation des connaissances deviennent prioritaires.

Un centre de formation en esthétique dynamique

A l’écoute permanente du marché, du consommateur et surtout des employeurs de ce secteur, l’institut Juventhera forme chaque année 300 élèves, futures esthéticiennes sortant chaque année avec leur diplôme d’Etat.

Fort de son succès, l’Institut compte aujourd’hui 3 établissements (68, rue de la Chaussée d’Antin 9ème – 7, rue Lafayette 9ème – 254, rue du Fg Saint Martin 10ème). « Tous les enseignants sont des professionnels de très haut niveau, et nous avons 90% de réussite aux examens ».

En plus des diplômes d’Etat, nous avons mis en place des formations qualifiantes (spécialisation post diplômes) pour répondre à la demande toujours croissante des entreprises. Nos formations évoluent constamment pour s’adapter à la demande du marché et sont de plus en plus souvent effectuées en alternance » souligne Michèle Chetboune.

« Nous faisons partie de la Fédération  Internationale de l’enseignement Parfu-merie, Esthétique et Cosmétique, attachée à la FNGAE, seul syndicat d’esthétique reconnu comme organisme paritaire auprès du Ministère du Travail ».

« Un taux de placement de près de 100% de ses élèves »

Les élèves cherchent eux-mêmes les entreprises où effectuer leur alternance, mais s’ils rencontrent des difficultés, le service Avenir Emploi Beauté les met en relation avec une entreprise. 

« Grâce au dynamisme de notre service Avenir Emploi Beauté, service de placement des élèves en contact permanent avec les employeurs, notre centre affiche un taux de placement de près de 100% de ses élèves » remarque Michèle Chetboune.

D’autre part, ce service organise plusieurs réunions, de technique de recherche d’emploi (rédaction du CV, présentation…), de contact emploi (ils doivent envoyer entre 10 et 15 CV par semaine).

Le centre compte entre 300 et 400 entreprises partenaires : Institut, parfumerie, grandes surfaces, pharmacie, para-pharmacie, fabricant diététique, club de forme, salon de coiffure…

« Nous avons entre 15 et 20 offres d’emploi chaque semaine, et nous n’arrivons pas à trouver le même nombre d’esthéticiennes » confie Michèle Chetboune. « C’est vraiment un secteur porteur pour les jeunes. A noter que depuis 1998, il faut au minimum un CAP pour pratiquer dans les métiers de l’esthétique ».

Une animation très attractive

L’Institut Juventhera dispose d’une association sportive et culturelle, de sa propre équipe de tennis qui joue contre d’autres entreprises.

« Nous sommes allés à Disneyland pour fêter Halloween et tous nos élèves s’étaient maquillés et déguisés pour l’occasion, nous avons organisé cette année des jeux olympiques de maquillage… » affirme Michèle Chetboune.

Les formations diplômantes

D’une durée de 24 mois, ces formations peuvent s’effectuer soit en continue, soit en alternance (2 jours en Institut et 3 jours en entreprise) et préparent à un diplôme. Différentes spécialités et niveaux sont proposés :

- le CAP Esthétique-Cosmétique conseil-vente : il s’adresse aux jeunes du niveau seconde à terminale. Les jeunes ayant le bac peuvent passer leur CAP en un an.

- le BP Esthétique-Cosmétique : un CAP minimum est demandé

- le BTS Esthétique-Cosmétique : il s’adresse aux jeunes ayant un niveau terminal (scientifique de préférence).

Le technicien supérieur en esthétique -cosmétique exerce sa profession dans différents secteurs d’activité : instituts et centres de beauté, centres de remise en forme, entreprises de fabrication de produits cosmétiques et parfums, entreprises de distribution, secteur artistique, enseignement….

Il peut accéder à des emplois d’encadrement dans les secteurs industriels, commerciaux et de la formation.

- le BTS Diététique concerne les jeunes ayant un niveau terminal scientifique ou un diplôme d’esthétique. Les débouchés sont nombreux : en centre hospitalier, collaboration avec des médecins, centre de remise en forme-thalassothérapie, magasins diététiques, grandes surfaces…

- le Bac Pro Commerce Parfumerie Esthétique est ouvert aux personnes ayant un niveau de seconde. Cette formation professionnelle permet à son titulaire d’occuper directement un emploi opérationnel dans les secteurs de la parfumerie et de la parapharmacie.

A l’issue de cette formation, il peut devenir adjoint responsable magasin, responsable de stand (grands magasins), vendeur qualifié (Institut de beauté, parfumerie, parapharmacie). 

Les formations qualifiantes

Différentes options sont proposées :

- Option A :

 Techniques Supérieures d’Esthétique (Thalasso-esthétique, soins du corps, hygiène alimentaire). Les débouchés sont nombreux : Esthéticienne qualifiée visage et corps en Centre d’Esthétique, Centre de Thalassothérapie, de Cure…

- Option B :

Communication – Marketing Beauté. A l’issue de cette formation, les personnes deviennent conseiller(e) de vente, négociateur (trice) commercial(e) en produits cosmétiques, fabricants de cosmétiques…

- Option C :

Animatrice-Formatrice France-Export. Il s’agit d’un nouveau métier passionnant qui explose et qui est appelé à un grand avenir. L’exportation de l’industrie de la beauté française est un secteur en pleine expansion.

- Option D :

Spécialités Soins du Corps (7 techniques). Cette formation enseigne toutes les techniques de modelage, drainage…

- Option E :

Maquillage Professionnel. Les élèves apprennent les techniques de maquillage pour travailler dans le milieu du cinéma, de la télévision et de la photo.

- Option F :

Négociateur Commercial H/F France Export – Secteur Beauté

- Option G :

Employée Polyvalente Accueil – Manucure – Maquillage (Conseil – Vente)

Pour les jeunes, ces formations en contrat de qualification leur apportent un emploi et une formation payée. Ils apprennent un métier, tout en préparant, soit un diplôme d’Etat, soit un label professionnel.

D’autre part, l’alternance est une formation très appréciée des employeurs. (75% des contrats de qualification aboutissent à un poste fixe).

Pour les formations diplômantes, la rentrée a lieu entre le mois de septembre et Octobre/novembre. Pour les formations qualifiantes, les élèves peuvent intégrer le centre de formation tout au long de l’année.

Les salaires de la profession

« Selon la convention collective de la profession, pour les personnes ayant suivi une formation diplômante, une esthéticienne titulaire d’un CAP démarre aux environs de 7000/8000F bruts par mois.

Les esthéticiennes titulaires d’un BTS peuvent diriger un Institut, enseigner dans une école ou travailler dans un service de recherche professionnel et percevoir un salaire de 9/10 000F bruts par mois la première année.

Les personnes titulaires d’un BP démarrent à 8500/9000F bruts. Après une formation qualifiante, les salaires sont de 20 à 30% plus élevés » explique Michèle Chetboune.

Profils recherchés

Les formations qualifiantes s’adressent à des personnes titulaires d’un diplôme d’Esthétique. 

Outre le niveau d’étude minimum requis, « pour ces métiers de la forme, de la beauté et du bien-être, il faut avant tout aimer les autres, aimer communiquer, aimer apprendre en permanence car les mises à niveau sont continues.

C’est un métier qui apporte beaucoup pour les personnes qui aiment donner. Il faut savoir écouter, avoir une bonne présentation, une bonne élocution » commente Michèle Chetboune.

Comment se passe le recrutement ?

Les candidats doivent téléphoner au centre de formation afin de recevoir un dossier de candidature et de s’inscrire à une des trois journées portes ouvertes, en fonction de la spécialité choisie, qui ont lieu chaque semaine.

« Durant la matinée, nous présentons le centre de formation Juventhera, puis les candidats passent un test écrit suivi d’un entretien orale avec une conseillère en formation. »

Ils ont les résultats immédiatement, et les candidats sélectionnés reviennent l’après-midi pour suivre un stage de recherche d’emploi.

4 conseillères en formation du service Avenir Emploi les assistent et organisent des réunions de technique de recherche d’emploi notamment. Deux à trois élèves sont présentés à chaque entreprise.

Si le secteur de l’esthétique vous intéresse, n’hésitez pas à contacter l’Institut Juventhera.