Selon une étude Harris interactive pour l’école de commerce l’Essec, 62% des étudiants définissent une « smartcity » comme une ville « durable », en harmonie avec son environnement, loin devant la technologie et l’ultra-connectivité (19%).
Si le concept d’une ville intelligente signifie informer la population en temps réel et fluidifier le trafic, cette technologie peut également servir à gérer la consommation d’énergie et réduire la pollution. 54 % des étudiants interrogés affirment pouvoir refuser un emploi si l’air est pollué.
Les futurs actifs sont à 90 % pour la préservation de la nature dans l’espace urbain ; ceux-ci valident aussi la végétalisation de l’espace urbain notamment sur les bâtiments des métropoles. New-York a conquis les étudiants plus enclins à travailler là-bas, grâce à ses initiatives écologiques qui se multiplient ces dernières années. Au détriment de Pékin pointé du doigt par les jeunes comme le mauvais élève en matière d’environnement.