Dans les quartiers défavorisés, une femme sur deux est inactive.
Souvent étrangère ou sans solution de garde d’enfants, 55 % d’entre elles, n’ont pas de diplôme, 23 % sont pauvres, 29 % maîtrisent pas l’écrit et 26 % élèvent seules leurs enfants.
La crise économique les éloigne aussi de l’emploi.