Tout au long de l’année, l’entreprise Le Terrain recrute des enquêteurs pour leur confier des missions successives de recueil de données par téléphone.
Selon vos disponibilités, vous pourrez effectuer quasiment un plein temps ou opter pour un temps partiel en soirée.
Saisissez cette opportunité de travailler tout en apprenant à acquérir toutes sortes de comportements qui seront utiles à votre intégration professionnelle.
Une première expérience n’est pas nécessaire : formation et encadrement sont prévues.
Spécialisée dans le recueil et le traitement de données, Le Terrain se positionne parmi les entreprises leaders en France sur ce marché.
Créé en 1996, l’entreprise affiche une bonne santé. Avec un chiffre d’affaire de trois millions d’euros pour l’exercice 2001-2002, elle a réussi à maintenir son activité dans un environnement économique pourtant peu favorable et mise sur une croissance de 15% pour l’exercice en cours.
« Avec quelques 250 études réalisées par an, soit environ 450 000 questionnaires, nous apportons une prestation de services à des grands groupes qui oeuvrent dans des domaines d’activité variés : télécommunications, médias, médical, assurances ou pour des instituts d’études ou de sondages,…Nos clients nous sont fidèles car nous nous posons en spécialiste et leur proposons des solutions méthodologiques et techniques adaptées à chaque problématique », souligne Mustapha Smail, fondateur et Directeur Général de l’entreprise.
Forte d’une équipe de 14 collaborateurs permanents (ils étaient 8 en septembre 2002), et d’un réseau de 200 enquêteurs, l’entreprise prévoit de s’implanter à l’étranger d’ici à la fin de l’année 2003.
Cette année, afin de faire face aux demandes de ses clients, Le Terrain a prévu de procéder au recrutement d’environ mille enquêteurs.
Ces postes sont proposés à des étudiants, à des jeunes diplômés, à des intermittents du spectacle ou à des demandeurs d’emploi.
Si les missions varient de quelques heures à quelques semaines, elles s’étalent généralement sur une semaine. Se distinguent deux grandes tendances d’horaires de travail possibles : en journée, de 9 h 30 à 18 h, du lundi au vendredi, ou en soirée de 17 h 30 à 21 h 30 du lundi au samedi (parfois dimanche).
Ainsi, cette activité peut-elle intéresser ceux qui sont à la recherche d’un poste à plein temps comme ceux qui recherchent un travail « de complément ».
Ceux d’entre vous qui le souhaitent peuvent parfaitement envisager de travailler chez Le Terrain toute l’année, en effectuant jusqu’à 151 heures tous les mois, soit presque un temps plein, en enchaînant les missions.
Ce qui peut vous permettre, par exemple, de gagner de l’argent tout en cherchant parallèlement un autre emploi, en étant plus rassuré - travailler confère une certaine assurance, pensez-y - et d’éviter les « trous » sur votre CV. Quant aux étudiants, par exemple, ils pourront mener de front études et travail rémunéré.
Vous serez engagé en CDD avec objet précis (type de CDD qui permet d’enchaîner les missions) et rémunéré non pas au questionnaire mais selon un taux horaire légèrement supérieur à celui pratiqué dans la profession.
Les enquêteurs recrutés par Le Terrain exercent le plus souvent au siège de l’entreprise, à Paris, dans le onzième arrondissement.
Ils sont répartis dans des salles à taille humaine, équipées des moyens techniques les plus performants, soit un centre d’appel de cent stations informatisées. Qualité de la prestation oblige.
Le rôle de l’enquêteur consiste à appeler des personnes sélectionnées par le client, à leur poser une série de questions également prédéfinies par le client et à saisir les réponses données.
L’éventail d’études réalisées est très large et celles-ci s’avèrent souvent très stratégiques.
« Cette collecte de données, une fois traitée, permet à notre client de se démarquer en disposant d’une information supplémentaire qui lui permet de changer d’angle d’attaque, de mieux connaître son marché, ses clients, ses concurrents, pour lancer de nouveaux produits, par exemple », commente Mustapha Smail.
« Peu de personnes envisagent le métier d’enquêteur sur le long terme. Ce métier souffre, à tort, d’une image négative liée aux métiers des téléservices », remarque Mustapha Smail.
Si les jeunes évoluent en effet dans un environnement télémarketing (ils travaillent avec des téléphones et des ordinateurs, ils sont en équipes et sont encadrés par des chefs d’équipe), leur mission est différente tous comme les objectifs et les techniques de formation.
« Nos enquêteurs n’ont pas la même attitude que des télévendeurs. Ils ne sont là ni pour vendre ni pour démarcher de potentiels clients. Ils n’ont donc pas à subir cette pression. Ils ne s’investissent pas dans la relation avec le client, ils sont là pour collecter l’information. Les questions sont posées de la même façon à chacun de leurs interlocuteurs, selon un questionnaire prédéfini et ils notent les réponses qui leur sont faites », explique Mustapha Smail. « C’est un vrai métier, contrairement aux idées reçues », poursuit-il.
Des formations sont organisées avant chaque enquête afin de briefer les enquêteurs. Celles-ci se déroulent en présence du client, qui explique le but de la mission, détaille le questionnaire.
Un briefing standard dure 90 minutes ; dans le cadre d’une grosse enquête, celui-ci peut durer une demi-journée. Vous bénéficierez également d’une formation continue puisque vous êtes encadré par un chef d’équipe.
« Les chefs d’équipe encadrent une dizaine d’enquêteurs ; ils les forment, les écoutent et les accompagnent dans leur quotidien. Les conseils qu’ils prodiguent sont toujours pertinents puisqu’ils ont eux-même été enquêteurs auparavant », ajoute Sandrine Ghelfi, Chargé de Terrain.
« Quand on est novice dans ce métier et que l’on doit appeler, pour la première fois, un député, un ministre ou un PDG, on panique un peu…C’est à chaque fois un nouveau challenge mais on apprend beaucoup grâce au chef d’équipe et en écoutant les autres. Après six mois d’enquêtes, on est devenu un vrai pro du téléphone ! », nous confie Sandrine, qui témoigne en connaissance de cause puisqu’elle a débuté comme enquêtrice chez Le Terrain.
Ainsi, pratiqué de façon ponctuelle, le métier d’enquêteur permet à un jeune de développer son aisance au téléphone, d’améliorer son niveau de lecture, ses facultés d’adaptation et sa culture générale.
Savoir parler au téléphone et ne jamais être pris au dépourvu par son interlocuteur, implique que l’on est capable de pouvoir parler avec n’importe qui.
Quant aux qualités d’attention et aux capacités de travailler en équipe et de garder son calme que l’on développe, ce sont autant d’acquis qui vous seront utiles quelle que soit l’orientation professionnelle que vous choisirez ultérieurement.
Ces emplois d’enquêteurs peuvent déboucher sur un CDI. Selon ses capacités et ses envies, un enquêteur peut devenir chef d’équipe au bout de quelques mois, puis Chargé de Terrain (responsable de production).
« Nous encourageons la promotion interne : presque la moitié du personnel en est la preuve, comme moi, qui ai commencé comme enquêtrice chez Le Terrain en 1997 et qui suis aujourd’hui Chargée de Terrain », témoigne Sandrine.
« Cette démarche me semble plus que logique, elle permet de développer une culture d’entreprise et de fédérer une équipe », confirme Mustapha Smail.
« Si la plupart de nos enquêteurs sont assez jeunes, l’âge n’est pas un critère de sélection. Ces postes s’adressent avant tout à des candidats disponibles tout au long de l’année, même si, rappelons-le, ils ne sont pas obligés d’être disponibles à plein temps. Pour ces raisons de disponibilité dans le temps, nous ne recrutons jamais juste pour les périodes de vacances. Tout comme nous n’embauchons pas de lycéens : leurs horaires de cours sont trop importants. C’est aux enquêteurs de s’adapter à nos missions plus qu’à nous de nous adapter à leur emploi du temps même si nous savons faire preuve d’une certaine flexibilité », développe Mustapha Smail.
Le diplôme importe peu : « La qualité du service est le cœur de notre métier. C’est cette même qualité que nous recherchons chez les candidats. Attitude vestimentaire correcte, qualité d’expression orale, capacité à être attentif, à garder son calme, respect des horaires, respect des autres sont autant de pré-requis nécessaires… », souligne le Directeur Général.
Naturellement, votre degré de motivation sera également essentiel. « Il ne faut pas considérer le métier d’enquêteur comme un « petit job » qui ne demande aucun effort », insiste Mustapha Smail.
Enfin, retenez que la notion de travail en équipe est primordiale. Si vous ne le supportez pas, abstenez-vous.
Les candidats de langue maternelle anglaise, allemande, italienne, espagnole, néerlandaise sont également les bienvenus.
Il vous suffit d’appeler Le Terrain au numéro de téléphone indiqué ci-dessous. Vous serez convié dans les sept jours (maximum) qui suivent à une réunion de pré-sélection qui permettra aux chargés de recrutement de l’entreprise d’évaluer votre niveau de connaissances et de culture générale (lecture, orthographe, calcul mental,…).
Celle-ci permettra également de mesurer votre adaptabilité et vos connaissances bureautiques (ne vous inquiétez pas, on ne vous demandera pas un niveau de pro mais des connaissances de base). Une réponse vous sera donnée immédiatement.
Si votre candidature a été sélectionnée, vous assisterez dans les jours qui suivent à une journée de sélection formative de 6 heures 30 environ (avec pause déjeuner !), au cours de laquelle un Chargé de Terrain vous expliquera le fonctionnement du logiciel utilisé et les techniques d’enquêtes.
Vous serez convié à nouveau le lendemain pour une mise en situation de trois heures.
« Il s’agit en quelque sorte d’un test en grandeur nature pour s’assurer que les candidats arriveront à s’en sortir. Et que l’expérience les tente réellement », précise Orlane Lagrue, Responsable de Recrutement.
La journée de sélection et le test téléphonique vous seront rémunérées au bout de cent heures effectuées dans l’entreprise.
Si ce test s’avère concluant, une mission vous sera proposée immédiatement.