Autrement dit, jongler entre deux postes est aujourd’hui une réalité vécue ou considérée par plus de la moitié des actifs.
On compte aujourd’hui 2,3 millions de pluri-actifs, un chiffre qui a plus que doublé en dix ans. Temps partiel, activités freelance, travail de nuit ou les week-ends, cette banalisation du cumul professionnel n’est pas un symptôme de bonne santé économique.
Cette nouvelle tendance ne devrait pas tarder à poser de grandes questions structurelles concernant l’encadrement juridique, fiscal et sanitaire des travailleurs.